Battle #17 Johann Johannsson vs Ludovico Einaudi
posté le 17 novembre par Rudi
Dans la catégorie« Islande VS Italie »
A ma gauche | A ma droite |
Johann Johannsson avec « Flordlandia » |
Ludovico Einaudi avec « Divenire » |
Lorsque vous avez été élevé dans un pays comme l'Islande, sur une « terre de glace », nourri au requin séché et quand la crise financière met votre pays en faillite … il vous reste toujours vos gloires nationales … Bjork, Sigur Ros et … Johann Johannsson ! Son dernier album est plus symphonique et moins expérimental que son « IBM 1401 ». Il tient plus de la B.O. de film, du voyage initiatique, du paysage musical … osez cet incroyable périple dans le monde de « Flordlandia ». Adoptez un islandais … votez pour lui ! | Lorsque vous avez été élevé dans un pays comme l'Italie, nourri de pâtes à tous les repas et que votre dirigeant vous ridiculise dans le monde entier en racontant les pires conneries à la télé … il vous reste toujours vos gloires nationales … Eros Ramazzotti, Zucchero et … Ludovico Einaudi ! Dans « Divenire », ses accointances compositionnelles avec Michael Nyman sont évidentes mais on y retrouve également les articulations pianistiques de Keith Jarrett et quelques traits de Vivaldi dans les violons. Un album tout en finesse à (re-) découvrir. Adoptez un italien … votez pour lui ! |
Johann Johannsson sur MySpace | Ludovico Einaudi sur MySpace |
L’instigateur…
17 novembre 2008 à 10:02
J’adore! Merci Rudi d’élargir toujours un peu plus nos univers musicaux. Si le post-rock (sur la battle de Marcus par exemple http://www.listen2fight.netdelight.be/?p=197) a tendance à rapidement me lourder, ici ce n’est pas du tout le cas et je suis complétement sous le charme.
C’est aussi la battle musicale la plus longue que Listen2Fight ait connu avec une durée totale de plus de 20 minutes (13’42 pour JJ et 6’42 pour Einaudi)… histoire d’avertir les amateurs qui voudraient attendre la fin des morceaux avant de se prononcer.
Perso, ça fait déjà un certain nombre de fois que j’écoute les morceaux mais je n’arrive toujours pas à me décider. Donc en attendant, ce sera simplement un merci Rudi!
17 novembre 2008 à 10:59
Peut-etre je contribute a la crise financiere en Islande, mais j’adopte la magie du violon et du piano – “Divenire”. Je pense bientot faire un film pour cette musique magique. Un garcon abandonne a l’hopital apres sa naissance, 4 premiers ans passe a l’orphelinat, quand il reve il voit toujours cette serie des scenes – une jeune fille, habille en modeste robe blanche, danse dans le champ de ble, elle sourit… bon, je ne vais, quand meme, pas raconter tout mon film ici 😉 de toute facon, quand le petit garcon reve, c’est “Divenire”, qu’on entend a l’arriere-plan. Merci pour la decouverte.
17 novembre 2008 à 13:20
Non pas que le scénario de Jenny ait l’air complétement nul mais je vais voter pour JJ (alias la boule de Fort Boyard). Un morceau moins immédiat, plus planant. En tout cas, deux jolies découvertes.
17 novembre 2008 à 17:22
Ce sera Einaudi pour ma part. Principalement car le morceau de Johannsson me fait trop penser à ceux d’IBM 1401 (les seuls morceaux de lui que je connaisse) en moins bon. Je ne suis pas sûr que ça aurait été le cas si je découvrais les deux artistes mais pas moyen de faire le vide dans mon esprit 😉
17 novembre 2008 à 23:30
Einaudi 🙂 et essayez le mélange Einaudi-Lippok…pur merveille 🙂
18 novembre 2008 à 10:20
Effectivement, ca change, très bonne idée, Rudi, bravo. Et puis c’est assez reposant pour un mardi matin.
Bon j’ai aimé les deux morceaux. Souci.. :)) Allez je vais voter pour JJ parce que le climat développé est vraiment très beau.
22 novembre 2008 à 15:43
Un site pour faire des découvertes musicales? Eh bien on dirait que ça marche.
Le Johann Johannsson est un peu trop placide à mon goût, manque un peu de relief. Mais ça peut tout simplement dire que le moment pour l’écouter n’est pas le bon. Et puis j’écoute Ludovico Einaudi et je ressens exactement la même chose.
Bon, je vote pour l’Islandais et je vais réécouter Eluvium.
12 mars 2010 à 22:20
Einaudi est indétrônable.