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Battle #20 Okay vs Throw Me The Statue

posté le 27 novembre par Erwan

Dans la catégorie« les (petits) fils de Grandaddy »

A ma gauche	A ma droite
Okay avec « My »	Throw Me The Statue avec « Lolita »
Avec Grandaddy, c’est l’un des groupes les plus talentueux de la sphère indie qui disparaissait il y a deux ans. Alors pour se consoler, on cherche un groupe ou un artiste qui pourrait reprendre le flambeau. Okay pourrait être de ceux-là. Derrière ce nom se cache Marty Anderson, qui enregistre tout seul chez lui de petits chefs-d’oeuvre lo-fi, entre bidouillages électro et dépouillement acoustique, soit tout ce que l’on aimait chez Grandaddy. Et comme le pauvre Marty Anderson est cloué chez lui par une maladie, on risque d’avoir droit encore longtemps à ces compositions simples et sans artifices de studio.	Mélange d’électro, de pop, de rock, avec toujours un côté lo-fi dans la production : on retrouve aussi tous ces éléments chez Throw Me The Statue (quel nom !), jeune groupe issu de Seattle qui a sorti son premier album Moonbeans en début d’année. Ils ont également en commun avec Grandaddy la capacité à enchaîner les tubes avec une facilité assez déconcertante : on en compte au moins cinq ou six sur leur album. Le plus évident est sans doute Lolita (avec un titre pareil, c’est forcément irrésistible non?), à découvrir ici. Et si cela ne suffisait pas, allez jeter un oeil à la pochette, elle vaut le détour !
Okay sur MySpace	Throw Me The Statue sur MySpace

L’instigateur…

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2 mois. 20 battles. 40 artistes. 6 chroniqueurs. Mazette, c’est que cette chose avance vite ! Trop vite peut-être ? Après ce démarrage en fanfare, nous souhaitons partager quelques statistiques avec vous, visiteurs et chroniqueurs, et voir ce que vous en pensez.

A l’heure actuelle, environ 1000 visiteurs uniques ont laissé plus de 400 votes et 200 commentaires sur nos battles. Des visiteurs qui sont arrivés chez nous en tapant dans Google : « sufjan stevens », « yoni fujiya » mais aussi « combats féminins sur ring », « c’est dur de remonter sur le ring » ou encore « musique nebuleuse de sorciere a telecharger » !

Nous avons également reçu des retours intéressants sur différents sites :

Bref, c’est un début encourageant mais nous pensons pouvoir faire encore mieux et embarquer encore plus de monde dans notre aventure. Concrètement, notre volonté était (et est toujours) de regrouper un public très varié (des passionnés de musique mais aussi leur petite sœur, leur grand-père, leurs collègues, leurs amis…) et de leur permettre de s’exprimer à propos de découvertes musicales de divers horizons.

Du coup, votre avis nous intéresse aussi sur le site lui-même. Nous aimerions donc savoir qui vous êtes et ce que vous pensez réellement de L2F. Qu’est ce qui marche, qu’est ce qui ne marche pas ? Pourquoi venez-vous sur le ring ? A quelle fréquence y venez-vous ? Exprimez-vous franchement et sans prise de tête, c’est ce qui nous permettra d’améliorer le site.

Pour finir, nous tenions aussi à remercier tous ceux qui nous soutiennent et qui vous redirigent vers Listen2Fight. En espérant ne pas en avoir oublié…

Nous vous réservons quelques surprises pour les prochains jours et nous vous remercions d’ores et déjà pour vos commentaires !

Thomas & Manu

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Battle #19 Sharif vs Biffy Clyro

posté le 24 novembre par ToX

Dans la catégorie« Rihanna Covered »

A ma gauche	A ma droite
Sharif avec « Disturbia »	Biffy Clyro avec « Umbrella »
J’ai toujours eu un attrait particulier pour les reprises. Des plus probables (Tori Amos qui reprend REM ou Nirvana) aux plus improbables (The Editors qui reprennent Gorillaz ou moi-même reprenant Stéphanie de Monaco). Et puis en 2007, il y a eu cette nouvelle manie – pour des groupes en manque de succès ou voulant simplement se faire remarquer – de reprendre Rihanna. Dernier exemple en date, un certain Sharif qui s’approprie Disturbia le dernier hit de la princesse R’n’B. Et malgré que ce gaillard soit tout droit sorti d’une émission de téléréalité aux Etats-Unis, j’aime bien. Pampam pilam, pampam pilam pam…	Un an auparavant, c’était des écossais qui s’y étaient collés, les trois barbus de Biffy Clyro. Relativement méconnus chez nous, en Ecosse, fierté d’une nation, vous entrez dans un bar et bardaf voilà qu’ils débarquent d’un juke-box et sont aussitôt repris, au même titre que Damien Rice, par des marins buvant à grands coups. Sur le continent, ce n’est (mal)heureusement pas encore le cas. Vous échappez au groupe mais vous n’échapperez pas à la reprise, puisque c’est bien ce qui nous intéresse. Si, si, souvenez-vous « Rihanna Covered ». Bon ben, votez. Moi, je vais continuer à m’entrainer. Comme un ouragan, la tempête en moi…
Sharif sur MySpace	Biffy Clyro sur MySpace

L’instigateur…

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A ma gauche	A ma droite
Tunng avec « Pool Beneath The Pond »	Psapp avec « Rear Moth »
Si je devais classer les découvertes de ces dernières années, Tunng figurerait clairement en tête de liste. Rencontré une belle nuit d’été 2005 dans le Parc Royal de Bruxelles, c’est le groupe qui m’a guidé dans les méandres de l’électro-folk (ou folktronica, ou weird-folk, ou ce que vous voulez). Dans le labo de Tunng on mélange le xylophone avec des gros beat, le banjo avec du beep-bleep, les choeurs et le mélodica… et le miracle se produit. Une musique à la fois surprenante et envoûtante qui se décline avec brio sur trois albums et un EP dont est issu « Pool Beneath The Pond ».	« Psapp », un nom étrange, une onomatopée qui colle bien à ce duo qui accompagne des textes pas toujours drôles (le très beau « Leaving in Coffin ») avec les sons qui sortent de différents jouets. Comme Tunng, ils sont anglais, un peu barges et figurent sur la compilation « Future Folk », une référence pour les amateurs du genre. Leur quatrième album « The Camel's Back », contient un peu plus de swing et de piano mais toujours autant de chats – qu’ils dessinent et fabriquent eux-même avant de les lancer dans le public. On est bricoleur ou on ne l’est pas…
Le site de Tunng	Psapp sur MySpace

Battle #21 Tunng vs Psapp

posté le 8 décembre par Manu

Dans la catégorie« Folk déglinguée en cinq lettres »